Audrey FrançaixNée en 1980, Audrey Françaix connaît d’abord plusieurs réussites avec des romans pour la jeunesse. En 2004, avec son époux l’écrivain Pierre Grimbert, elle crée les éditions Octobre et s’assure ainsi d’une totale liberté de création, notamment en littérature adulte. Après la trilogie de fantasy érotique du Cycle de la Chair, puis le voyage inventif et poétique du Festin d’Ohmelle, elle nous prouve à nouveau qu’elle sait aisément passer d’un style d’écriture à l’autre en nous invitant à intégrer le Club des apprentis criminels.

 

Romans jeunesse

Le Cercle des Elfes – Éditions Degliame (épuisés)

Les Fées de marbre – Éditions Degliame (épuisés)

Le Tribunal des follets – Éditions Degliame (épuisés)

Halloween : le club des monstres – Éditions Degliame (épuisés)

 

Romans adulte

Le Cycle de la Chair (3 vol. aux éd. Octobre)

Le Festin d’Ohmelle (2 vol. aux éd. Octobre)

Le Club des apprentis criminels (éd. Octobre)

 

Votre dernier coup de coeur fantastique ?

Il s’agit de fantasy, précisément… Les Gardiens de Ji : les Vénérables, paru cette année aux Éditions Octobre, et qui termine en beauté le grand cycle de « Ji » de Pierre Grimbert. Non non, ce n’est pas parce que Pierre est mon homme !… C’est vraiment un chouette bouquin, et un final plein d’émotions !

Votre auteur fantastique préféré ?

Il y en a plusieurs… beaucoup… trop ! Mais s’il faut choisir, j’essaie de n’en garder que trois principaux, auxquels je suis sentimentalement attachée depuis des lustres : Jean Ray (parce que c’est le premier auteur fantastique que j’ai lu, à l’âge de neuf ans), puis Kenneth Grahame (pour le Vent dans les Saules), et enfin James P.Blaylock (pour les Contes de l’Oriel, qui m’a réellement donné envie d’écrire de la fantasy).

Quel pouvoir aimeriez-vous posséder ? 

Celui de guérir, sans hésitation !

Pour vous, le fantastique, c’est… ?

La liberté. Ne pas se fixer de limites… Créer, inventer… Tout est permis. Les littératures de l’imaginaire sont celles qui offrent la plus grande liberté d’expression.